Sécurité ? Quel sécurité ? [ RP Event, Zaina et Ael ]

Le monde va de plus en plus mal , depuis cette vidéo et cette déclaration de guerre ouverte, malgré l'intervention de ces ombres étranges, P.U.R.E ne semble pas calmer le jeu, bien au contraire ils semblent se montrer tous encore plus violents, le chaos est présent dans le monde entier. Certains descendants ne sont pas tous des guerriers aux grandes capacités, pleins d'enfants ou de personnes , voir même d'humains veulent vivre hors de tout ce chaos, hors de cette guerre... dans les rues et certains bars, alors que le désespoir prend peu à peu place et que les rues se désertent , entre les pilleurs et ceux qui veulent survivre, une information a était dévoilée , à priori , un camp de réfugié se situerait dans les Alpes, en France. Le camp semble être protéger par des civils voir des descendants miliciens , armés et prêt à défendre les réfugiés ou toutes personnes qui veulent être en sécurité...mais même dans les montagnes, coupés de la civilisation, de nos jours la sécurité est un terme avec bien peu de force.



Au loin, quelque part dans le monde , un homme est assis sur un fauteuil dans une salle sombre , seul la lumière de ce qu'il semble être une cigarette est visible, tandis qu'il semble discuter au téléphone en regardant ce qui semble être un petit planétarium personnel, il dit avec calme et fermeté.

- Un camp vous dites..? Mmh oui..tout se déroule comme prévu, ne faites rien pour l'instant, vous attendrez mes directives. Préparez le au cas ou, nous allons nous en servir...pour le moment, il faut faire en sorte que cela ne nous échappe pas. Contacter le sergent Reaves, dites lui..de se préparer.

Les ombres de chaque personne se mirent à nous parler. Le premier être, était-ce possible ? ils étaient tous censés être mort non ? Il me semblait reconnaitre sa voix. Peu importait. Je n’avais pas le temps d’y réfléchir. Pas tout de suite. Je verrais cette histoire au calme. Il me fallait une porte de sortie. Je ne me sentais pas concernée par le message. Je faisais partie de ceux qui voulaient la paix. Je ne tuerais que si je n’avais pas d’autre choix. Une fois qu’il eut dit son dernier mot, je ne perdais pas une minute pour fuir. Droit devant moi le plus vite possible. Réfléchir, je devais réfléchir. Ne pas laisser la panique m’envahir. Bon un peu tard pour y penser. Je paniquais un peu. Bon je devais l’avouer, c’était la panique totale dans ma tête. Je devais tout faire pour survivre. Il me fallait mes armes. Je savais où aller. Même si ça ne serait pas simple.

Je n’étais pas la seule à prendre peur. Plusieurs descendants, effrayés, perdaient le contrôle de leur pouvoir. Pour ceux qui le connaissaient déjà. D’autre le découvraient. Ce qui n’avait pas vraiment l’air d’arranger la situation.la mienne ne s’était pas arrangée. J’étais poursuivie. Je devais faire un détour pour rentrer chez moi. Seulement, avec ces partisans de P.U.R.E à mes trousses, j’étais plus en train de m’éloigner. Un pyromane leur barra le passage. Je le remerciais mentalement et pris la fuite. C’était plutôt lâche. En fait totalement. Mais je risquais surtout d’être un poids. Je parvins enfin à atteindre mon appartement. Je pouvais peut être m’enfermer chez moi. Je repensais à l’enfant. Non je ne pouvais pas laisser faire ça. Bon mes armes. Je les trouvais rapidement. J’avais même une recharge. Mais rien de plus. De toute façon je n’avais pas le temps de fouiller plus. Je les dissimulais comme 7-6 me l’avait montré. J’étais prête. Enfin plus ou moins.

Je sortis de chez moi. Je me demandais si le pyromane avait réussi à survivre. L’odeur de chair brulée prouvait qu’il avait au moins fait des dégâts. Je ne devrais pas en être contente. Seulement, dans ce chaos, c’était souvent le meilleur moyen de rester en vie. Je préférais quitter la ville. Je ne pouvais rien faire ici. Puis les descendants n’étaient les seuls à fuir. Il y avait aussi des humains. Nous étions nombreux. Combien survivraient au voyage ? Des femmes, des enfants, des infirmes et quelques hommes. Ils ne voulaient pas ou ne pouvaient pas participer à cette guerre.

Aprèsplusieurs jours de marche, je pu parvenir au camp. Une longue route, certains n’avaient pas tenu jusqu’au bout. J’avais pu revoir le pyromane. Il avait choisi de nous escorter. Chen, je crois que c’était son nom. Il était plutôt mignon avec ses yeux bridés. Je faisais mon maximum pour aider le groupe. J’avais du blesser des partisansen chemin. Parchance nous avions quelques guérisseuse. Mais même comme ça ce serait compliqué. Nous risquions toujours d’avoir des intrus dans le groupe. Des espions au service de P.U.R.E. Sur le camp, il y avait quelques provisions. devoir trouver comment me rendre utile. C’est aveccet objectifque je marchais à travers le camp.

Le camp de réfugié se remplissait de plus en plus, des descendant s'y amassait avec leurs familles, mais des humains étaient également présent, aidant les descendants. Hommes comme femmes et enfants aidait à la collecte de nourriture, tout était calme, beaucoup d'habitations étaient entrain de se faire construire et beaucoup participait à la tâche d'apporter les réserve de provisions dans une battisse assez grande comme un entrepôt. Des miliciens qui gardaient le camp scrutait néanmoins le moindre bruit, le moindre signe d'activité potentiellement suspecte, vérifiant les visages de chacun à l'entrée, ils veillaient à ce que le camp ne soit pas victime d'attaque. Mais il n'y avait rien, aucun signe quelconque de Pure, puis un homme arrive en criant, il est en sang.

- Au secours ! Aidez...moi !

L'homme tombe devant le camp, les miliciens s'approchent, arme tendu , et le regarde , s'agenouillant, ils le prennent sur son épaule.

- Vite ! On va l'amener à un médecin ! Qui vous a fait sa ?!
-Je...je...ils...arrivent...ils seront la...j'ai vu...l'homme...de la vidéo...celui qui a tuer la descendante...j'ai pris des tirs je...ils sont dans les montagnes eux aussi...une...embuscade...

Les miliciens le porte à l'intérieur du camp tandis qu'il s'évanouit en chemin, mais la milice repart aussitôt, organisant déjà des équipes pour aller voir la situation , pendant ce temps au campement, un homme à moitié nu , ne portant qu'un kilt sur lui, il semble aussi à moitié fou et mal rasé, il se rapproche d'une fille dont il entend surement les parents. Elle devait être arriver il y a peu.

- Eh ! Toi ! Je suis Tarzan ! AH HEE YA HEE YAAA ! Non plus sérieusement arrête de rire. Non ! Arrête j'ai dit !

L'homme se mit à rire tout seul , en parlant, puis il prit un air sérieux.

- Ils arrivent...ils seront bientôt sur nous, ce camp n'est pas sur, ce n'est pas un camp de protection mais un traquenard...nous sommes tous compacter et regrouper dans ce petit camp, pense-y ! Car ici ce sera plus facile de nous tuer !

L'homme s'enfonce dans le camp en courant, tandis que les miliciens l'achoppe et l'emmène ailleurs en le voyant parler à la jeune fille aux cheveux argentés. Que voulait-dire cet homme ? Il y aurait un lien avec l'arrivé du blessé ? Au loin, dans un lieu bien sombre, un homme parle au téléphone.

- Reaves ? Vous pourrez intervenir sous peu, préparez W.O.L.F , notre cible arrive, il nous faut l'appât , nous allons vous transmettre la photo de votre cible, Faites en sorte que W.O.L.F la capture, il nous la faut vivante.

L'homme au nom de Reaves situer dans un camp dans les montagnes semble acquiescer puis regarde son téléphone et acquiesce de nouveau.

- Oh ? La cible ? Compris. J'organiserai sa capture, je prépare Wolf , le professeur va lui transmettre les ordres. Victoriam Liberae !